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4 octobre 2008, par bcolettelancette
Quand transhumance rime avec vacances.
Trois heures du matin … l’orage gronde dans la plaine de Shiraz. Très vite de grosses gouttes de pluie s’abattent sur notre tente. Je hasarde un œil hors de mon duvet. L’inquiétude se fait sentir. Les hommes ont prestement quitté la tente et s’activent autour de celle-ci. Je suis le mouvement et rassemble au plus vite mes affaires. Nous créons, au milieu, un petit monticule de couvertures et de sacs afin de les isoler au mieux de l’eau qui commence déjà à (...)